Boubou69 a écrit :AVION, je ne pense pas du tout qu'affaiblir le superbe hub d'AF à LYS soit une bonne idée, loin de là! !
J'ai écrit exactement le contraire.
Boubou69 a écrit :AVION, je ne pense pas du tout qu'affaiblir le superbe hub d'AF à LYS soit une bonne idée, loin de là! !
Il faut attendre de savoir ce que sera le projet PRF de AF ! si c'est du point a point slt ou du "connecting hub" ou mixte ...Boubou69 a écrit :... cependant, plutôt que de voir le hub de LYS se réduire comme peau de chagrin et perdre ce qui fait l'intérêt même de ce hub. Je trouve que l'établissement d'une base Transavia, et une reprise de certaines lignes sur le modèle Germanwings/Vueling peut-être une pas si mauvaise idée...
Si l'hypothèse HOP! se confirme, il y a fort à parier que la filialisation du CC/MC devrait suivre, peut-être même au sein de cette nouvelles compagnie ? Tout comme Flyzen, je pense que le mur était trop important pour aller directement vers cette logique.Flyzen a écrit :Il faut attendre de savoir ce que sera le projet PRF de AF ! si c'est du point a point slt ou du "connecting hub" ou mixte ...Boubou69 a écrit :... cependant, plutôt que de voir le hub de LYS se réduire comme peau de chagrin et perdre ce qui fait l'intérêt même de ce hub. Je trouve que l'établissement d'une base Transavia, et une reprise de certaines lignes sur le modèle Germanwings/Vueling peut-être une pas si mauvaise idée...
... mm dans le modele low cost on commence a voir de plus en plus de connecting sur un hub, ça reste en nb de relations limitées et pas sur tout un reseau c'est sur ... mais c'est un autre pan du concept initial qui tombe et oui il faut remplir les avions !
Par ex AirAsia a prévu dans son futur terminal KLIA2 d'augmenter son offre en connecting, et bon nb de Cies asiatiques les font déjà !
... aux Etats Unis, Canada et Mexique les vols multi-destinations (a escale) sont une chose courante et cohabitent avec du vrai connecting hub dasn la plupart des low cost ... a la mode locale
...en Europe Vueling joue a fond le connecting hub a BCN uniquement
Donc patience !
Je suis d'accord, malheureusement, l'annonce faite par AF aujourd'hui ne semble pas aller dans ce sens. Une approche "à la Germanwings" aurait été la bienvenue. Mais non, AF prend peu à peu le chemin d'IB (une legacy dont le service est totalement LCC).Clm a écrit :A titre personnel, j'apprécierais qu'une compagnie à bas coûts hybride (services payants à la carte + miles) voie le jour à partir des branches CC/MC d'Air France + Pôle régional français et une flotte limitée à :
- Airbus 318/319/320/321 (réseau CC/MC à potentiel important de trafic)
- Embraer 190 (liaisons eurorégionales et régionales à potentiel moyen de trafic)
- ATR 72 (laisons eurorégionales et régionales à faible potentiel de trafic ou aéroports contraints)
Avec des bases à ORY, CDG, NCE, MRS, BOD, NTE et un réseau européen complet.
Exit les CRJ200/700/1000, les Embraer 135/145/170 et les ATR42.
1 - de memoire les tarifs promos de AF en "domestique" ne donnaient dejà aucun miles donc fondamentalement rien de changéBoubou69 a écrit : Points négatifs :
- Pas de cumul de miles Flying Blue,
- Pas de sélection du siège lors de l'OLCI
Sur ce dernier point, j'espère que c'est juste une erreur de la part des médias sur lequel j'ai entendu cette news! Sinon, je ne vois pas comment ça va marcher...
Ma memoire n'etait pas defaillante, jai verifie sur mes releves flying blue il y avait bien des vols ( NTE/NCE) obtenus a taifs tres promos sans miles, les vols sont bien repris conmme effectués mais 0 miles ... maintenant ne me demande pas le code tarifaire vue la multiplicité de ceux ciBoubou69 a écrit :A moins que je n'aie loupé quelque chose, TOUS les tarifs d'AF (même promo) donnaient droit à l'attribution de miles...(le minimum est 125 miles il me semble)!
Oui c'est visiblement la cas maintenant (j'ai bien eu 125 miles pour un prea gratos en 2011) mais ça n'a pas tjrs ete le cas pour les vols domestqiue "promos" ... mon releve FB est sans equivoqueClm a écrit :Le plus bas code tarifaire est "R" je crois et ça donne 125 miles.
Air France : l'état des lieux financier des bases de province
Selon nos informations, la compagnie table sur 70 à 80 millions d'euros de pertes en 2013 sur ses bases de Marseille, Nice et Toulouse, en lien avec l'objectif initial, contre une perte en 2012 estimée autour de 110-130 millions.
Depuis que des informations de presse ont, la semaine dernière, annoncé leurs fermetures en septembre 2013, les trois bases de Marseille, Nice et Toulouse d'Air France se retrouvent sous les feux des projecteurs. L'information a certes été démentie fermement par la compagnie, elle met néanmoins en lumière une réalité. Lancées en octobre 2011 pour la première d'entre elles, au printemps 2012 pour les deux autres, ces bases ont connu un sérieux retard au démarrage, avec des coefficients d'occupation et des recettes unitaires inférieures aux prévisions fixées dans le business plan élaboré début 2011. Pour autant, les mesures prises en septembre pour remonter la pente semblent permettre aux bases de se rapprocher progressivement des objectifs fixés.
Cinq premiers mois catastrophiques
Selon nos informations, au cours des cinq premiers mois d'activité, le remplissage moyen des avions était inférieur aux 64 % espérés, avec une recette unitaire très dégradée de plusieurs dizaines de points, toujours par rapport au budget initial. Résultat, les pertes d'exploitation ont été supérieures aux prévisions. Elles devraient, selon certaines sources, s'élever entre 110 et 120 millions d'euros en 2012 sur les trois bases (d'autres évoquent un chiffre autour de 130 millions) qui perdaient une centaine de millions en 2010. Dans les projections présentées en décembre en conseil d'administration d'Air France et d'Air France-KLM, la compagnie compte revenir sur la trajectoire du business plan à partir d'avril 2013 malgré une hausse du prix du carburant de 60 millions d'euros depuis deux ans, et table ainsi sur une perte d'exploitation de 70 à 80 millions d'euros en 2013. En effet, l'objectif initialement fixé pour ces trois bases était seulement d'améliorer leur résultat global de 25 millions d'euros par an et non d'atteindre l'équilibre, un objectif fixé pour 2013 pour l'ensemble du réseau moyen-courrier point-à-point. Interrogé sur tous ces points, Air France ne fait pas de commentaires.
Réajustement
Depuis l'introduction de nouvelles mesures en septembre les remplissages seraient en ligne avec le budget tandis que la recette unitaire s'en est rapprochée en novembre et décembre. Le réseau de vols, le marketing, la tarification ont été revus. Les capacités aussi. Cet été, il y aura quatre avions de moins que prévu. Les 60 % de croissance prévus initialement sont ramenés à 35 %. Quasiment toutes les routes auront été changées. Outre que l'attrait touristique de plusieurs destinations était contestable, l'agressivité de la concurrence low-cost a sérieusement compliqué les choses. En effet, entre le moment où Air France a évoqué le projet de bases (automne 2010 et la première ouverture un an plus tard), Easyjet et consorts ont eu le temps de s'organiser.
Bilan en septembre
Sera-ce suffisant? "Il est rop tôt pour tirer des conclusions dans un sens comme dans un autre", indique un administrateur. "Les remplissages sont perfectibles et des adaptations sont nécessaires. Nous avons l'intention de tirer un bilan plus global en tenant compte de l'impact des mesures introduites à l'automne", a déclaré ce lundi la directrice générale adjointe en charge de l'activité passages d'Orly et des escales de province, Florence Parly, lors de la présentation de la nouvelle offre tarifaire sur le moyen-courrier. Ce bilan sera fait en septembre.
"Un succès opérationnel"
Pour Florence Parly les bases sont "un succès d'abord opérationnel qui a permis d'attirer un million de passagers supplémentaires en 2012". En outre, "elles sont une rampe de lancement pour le plan Transform dans la mesure où ce dernier reprend à son compte un bon nombre de leurs principes". Le PDG d'Air France, Alexandre de Juniac, a lui aussi insisté sur ce point : "passer d'une exploitation où l'activité des avions passent de 8h15 à 11h30 constitue un énorme changement. Nous avons testé un certain nombre de règles qui vont être généralisées au réseau moyen-courrier". Pour rappel, les bases ont permis par le biais d'une hausse de productivité du personnel (les navigants notamment) de réduire les coûts de 15 %. Ceci par le biais d'une forte augmentation des capacités qui ont permis de baisser les coûts et d'ouvrir des lignes qui ne pouvaient pas l'être dans la structure de coûts précédente.
Bug : Air France victime du succès de son offre low cost
Air France a envoyé une newsletter sur son offre MiNi hier, mais son site est resté indiponible les heures suivantes.
Le site de la compagnie Air France rencontrait encore des problèmes techniques hier en début de soirée, rendant impossible ou difficile la réservation de billets.
"Un surcroît de charge a occasionné des anomalies sur le site de vente d'Air France", confirmait hier le groupe, espérant que le problème serait complètement résolu aujourd'hui.
L'accès au site d'Air France était presque impossible hier, dès 11h. Il était en effet trés difficile de réserver un des billets proposés à partir de 49 euros, mais également de naviguer sur l'ensemble du site. Un coup dur alors que la compagnie lançait, le matin même, sa nouvelle offre low cost baptisée MiNi, notamment à travers l'envoi d'une newsletter dédiée.
A partir de 49, 50 ou 52 euros ?
En Home Page, et sur la page dédiée à cette nouvelle offre, Air France communiquait par ailleurs sur des vols à 52 euros (incluant directement les frais de service de 3 euros de réservation sur Internet) mais précisait, juste en dessous, une liste de destinations "à partir de 50 euros". Difficile également de trouver comment accéder aux allers simples dans cette nouvelle offre...Des détails modifiés en cours de soirée hier.
"MiNi", présentée hier par Air France, permet aux clients d’acheter des billets 20 euros moins cher que l’offre Classique sur 58 destinations au départ d’Orly et des bases province. Si elle offre les mêmes services au sol et en vol (presse, collations…) elle ne comprend ni bagage en soute ni choix du siège lors de l’enregistrement en ligne, et ne permet pas de cumuler des miles.
1 million de billets à 49 et 69 euros
Air France aurait prévu de proposer plus d’un million de billets à 49 euros (pour MiNi) et à 69 euros (Classique) en 2013, environ 10% de l’offre sur ces liaisons. Une bonne nouvelle pour la commercialisation de ces sièges est arrivée lundi en soirée : après 21h, Airfrance.fr était de nouveau disponible.
Les bases de province n’ont pas porté leurs fruits et le court/moyen courrier a vu ainsi ses pertes s’alourdir de 100 millions d‘euros à -600 millions au total pour Air France.
Des décisions de réduction du réseau ont d’ores et déjà été prises. Les bases de province qui étaient le laboratoire d’Air France face à l’agressivité des low cost voient leur bienfondé remis en cause. Une décision « structurelle » interviendra à la rentrée de septembre.
... alors HOP ! avec un 4em DirecteurAVION a écrit :Une décision en Septembre...
Bonsoir,Aeronantes a écrit :Une petite claque pour cet été...
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Ce n'est pas très clair tout celajet1 a écrit :AF arrêterait totalement Lyon, Nantes et Lille au départ de Nice????
C'est à peine croyable.