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Le "hasard" est rarement de mise dans ce domaine, surtout si tu y ajoutes le fait que Aigle Azur perd son actionnaire historique au prix d'un "poids lourd" du transport aérien qui pourrait donc devenir, comme évoqué sous sujet Aigle Azur, un acheteur possible de Corsair ... sous quelle entité ? ça c'est une question qui reste entière.Rwandair Express a écrit :Intéressant de voir que le même jour, on a apprend qu'il risque d’avoir de gros chamboulement chez Corsair et Aigle Azur, qui ont annoncé un partenariat, il y a quelques jours. Un lien ?
https://www.latribune.fr/entreprises-fi ... 77814.htmlPendant qu'Air France navigue en pleines turbulences, Corsair avance dans son changement actionnarial. Mise en vente par son actionnaire, le géant mondial du tourisme TUI, la compagnie aérienne française a tenu ce vendredi un comité central d'entreprise (CCE) extraordinaire pour leur annoncer que deux dossiers étaient sur la table. Le premier émane d'un investisseur chinois, qui serait l'un des actionnaires de la modeste compagnie aérienne chinoise Loong Airlines, mais aussi propriétaire de quelques vignobles bordelais. N'étant pas européen, il ne peut pas prendre plus de 49,9% du capital. TUI serait donc obligé, au moins dans un premier temps, de rester au capital, sauf si cet investisseur trouvait un partenaire européen.
Le second dossier est un européen. Il provient d'une entreprise ayant déjà géré dans le passé des sociétés de transport aérien. Il s'agirait d'Intro Aviation, qui a géré dans le passé LTU ou Cityjet.
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Cette finale entre ces deux prétendants intervient quelques semaines après que Corsair ait été approchée par deux anciens d'Air France, Lionel Guérin et Philippe Micouleau, qui nourrissaient le projet de regrouper plusieurs compagnies françaises.
Pas vraiment du "premier choix" pour une Cie long courrierLe premier émane d'un investisseur chinois, qui serait l'un des actionnaires de la modeste compagnie aérienne chinoise Loong Airlines, mais aussi propriétaire de quelques vignobles bordelais. N'étant pas européen, il ne peut pas prendre plus de 49,9% du capital. TUI serait donc obligé, au moins dans un premier temps, de rester au capital, sauf si cet investisseur trouvait un partenaire européen.
Le second dossier est un européen. Il provient d'une entreprise ayant déjà géré dans le passé des sociétés de transport aérien. Il s'agirait d'Intro Aviation, qui a géré dans le passé LTU ou Cityjet.
