Ryanair en France
Re: Ryanair en France
Pour les arrêts de BVE, EGC et SXB, je comprends que c'est uniquement pour la saison hiver 25/26 (avec possibilité de reprise pour la saison hiver) et donc pas définitif mais le communiqué n'est pas clair sur ce point.
Dans l'attente des 25 lignes concernées par les suppressions cet hiver car pas mentionnées non plus.
Dans l'attente des 25 lignes concernées par les suppressions cet hiver car pas mentionnées non plus.
Re: Ryanair en France
pour Strasbourg Volotea reprendra surement le Porto ..Agadir a voir
Re: Ryanair en France
sur les 25 lignes supprimées, il y a pour l'instant de façon certaine :
- Beauvais/Béziers
- Marseille/Limoges
- Porto/La Rochelle
- Tours/Londres
- Beauvais/Béziers
- Marseille/Limoges
- Porto/La Rochelle
- Tours/Londres
Re: Ryanair en France
Tours-Marseille n est pas renouvelé cet hiver. Est ce qu ils vont compter ça comme une suppression (temporaire ?).
D ailleurs cette baisse de capacité se produit chaque année a la fin de l été. J ai l impression que Ryanair présente ça comme des suppressions.
D ailleurs cette baisse de capacité se produit chaque année a la fin de l été. J ai l impression que Ryanair présente ça comme des suppressions.
Re: Ryanair en France
Pour ceux qui auraient un abonnement sur Challenge, le directeur commercial Jason McGuinness de Ryanair annonce les éventuels fermetures des aéroports régionaux pour 2026 ... a suivre
Re: Ryanair en France
Je cite "Je peux vous dire que nous quitterons des aéroports régionaux français cet été. Pas forcément ces trois-là. Nous sommes encore en train de travailler sur notre planning d’été. Mais malheureusement il y aura une réduction du nombre de lignes que nous proposerons en France."
(en parlant de Brive, Bergerac et Strasbourg)
(en parlant de Brive, Bergerac et Strasbourg)
Re: Ryanair en France
et MRS très certainement aussi des réductions de fréquences..
Re: Ryanair en France
À ce jour,
Quelques aéroports français ne disposent toujours pas de vols Ryanair pour la saison été 2026 :
BVE, DOL, SXB et TUF.
EGC seulement Londres en bi-hebdo, ça fait light
Quelques aéroports français ne disposent toujours pas de vols Ryanair pour la saison été 2026 :
BVE, DOL, SXB et TUF.
EGC seulement Londres en bi-hebdo, ça fait light
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Sachavion34
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Re: Ryanair en France
Il y a aussi Nîmes, mais le programme est en cours d’élaboration chez Ryanair.
Re: Ryanair en France
Certains aéroports vont souffrir en voyant partir leur seul ou principal client, avec peu de chance de remplaçants.
Ils ont investi dans les infrastructures et dans les "aides marketing" pour avoir le trafic.
Ça devait arriver un jour.
Ce n'est pas la faute des collectivités locales, ce modèle était fragile bien qu'il a longtemps tenu, mais de l'Etat souhaitant collecter toujours plus pour son budget et trouvant la cible facile, et populaire dans certains milieux, l'avion.
Après je reste septique sur le rôle des collectivités locales de financer du trafic aérien export fut il affinitaire.
Ils ont investi dans les infrastructures et dans les "aides marketing" pour avoir le trafic.
Ça devait arriver un jour.
Ce n'est pas la faute des collectivités locales, ce modèle était fragile bien qu'il a longtemps tenu, mais de l'Etat souhaitant collecter toujours plus pour son budget et trouvant la cible facile, et populaire dans certains milieux, l'avion.
Après je reste septique sur le rôle des collectivités locales de financer du trafic aérien export fut il affinitaire.
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Sachavion34
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Re: Ryanair en France
https://www.air-journal.fr/2025-11-09-h ... 67131.html
Ryanair, première compagnie aérienne en Europe, quittera plusieurs aéroports régionaux français au début de la saison estivale 2026, invoquant « une fiscalité de plus en plus lourde » en France.
Jason McGuinness, directeur commercial de la low cost irlandaise, l’a confirmé dans un entretien exclusif à Challenges.fr : « Nous quitterons plusieurs aéroports régionaux français cet été. Quand vous augmentez les impôts de 180%, cela rend ces aéroports non viables pour nous ». Cette situation résulte de la hausse de la Taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA, dite « taxe Chirac »), triplée pour atteindre 7,40 euros en moyenne pour un vol moyen-courrier, contre 2,60 euros précédemment.
Ryanair n’en est pas à son premier retrait du marché français. En 2025 déjà, la compagnie avait cessé ses opérations à Bergerac, Brive et Strasbourg, supprimant 25 lignes et réduisant sa capacité hivernale de 13%, soit 750 000 sièges en moins. Elle avait également quitté Vatry au printemps et menacé d’autres plateformes pour les mêmes raisons. « La France risque de perdre encore plus de capacité et d’investissements au profit de marchés plus compétitifs à l’horizon de l’été 2026 », menaçait déjà la low cost l’an dernier.
Cette stratégie ne se limite pas à la France : en 2025, Ryanair avait également réduit son offre en Allemagne, Espagne, Autriche, Estonie et Lettonie, préférant investir dans des aéroports où la fiscalité est jugée plus attractive, comme en Pologne, Suède et plusieurs régions italiennes.
Un impact local et des critiques sur la politique fiscale
Pour Ryanair, la hausse de la fiscalité aérienne nuit à la compétitivité des régions françaises. « Cette taxe est l’exemple parfait d’une mesure contre-productive. La France accuse un retard sur ses voisins européens », insiste Jason McGuinness. Le planning définitif des fermetures et des lignes concernées pour l’été 2026 n’a pas encore été communiqué officiellement. Ryanair conditionne toute reprise à une révision de la fiscalité aérienne, expliquant qu’« en supprimant cette taxe, la France pourrait retrouver une croissance ambitieuse du trafic, des investissements et de l’emploi ».
Pas de détails sur quels aéroports seraient concernés.
Ryanair, première compagnie aérienne en Europe, quittera plusieurs aéroports régionaux français au début de la saison estivale 2026, invoquant « une fiscalité de plus en plus lourde » en France.
Jason McGuinness, directeur commercial de la low cost irlandaise, l’a confirmé dans un entretien exclusif à Challenges.fr : « Nous quitterons plusieurs aéroports régionaux français cet été. Quand vous augmentez les impôts de 180%, cela rend ces aéroports non viables pour nous ». Cette situation résulte de la hausse de la Taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA, dite « taxe Chirac »), triplée pour atteindre 7,40 euros en moyenne pour un vol moyen-courrier, contre 2,60 euros précédemment.
Ryanair n’en est pas à son premier retrait du marché français. En 2025 déjà, la compagnie avait cessé ses opérations à Bergerac, Brive et Strasbourg, supprimant 25 lignes et réduisant sa capacité hivernale de 13%, soit 750 000 sièges en moins. Elle avait également quitté Vatry au printemps et menacé d’autres plateformes pour les mêmes raisons. « La France risque de perdre encore plus de capacité et d’investissements au profit de marchés plus compétitifs à l’horizon de l’été 2026 », menaçait déjà la low cost l’an dernier.
Cette stratégie ne se limite pas à la France : en 2025, Ryanair avait également réduit son offre en Allemagne, Espagne, Autriche, Estonie et Lettonie, préférant investir dans des aéroports où la fiscalité est jugée plus attractive, comme en Pologne, Suède et plusieurs régions italiennes.
Un impact local et des critiques sur la politique fiscale
Pour Ryanair, la hausse de la fiscalité aérienne nuit à la compétitivité des régions françaises. « Cette taxe est l’exemple parfait d’une mesure contre-productive. La France accuse un retard sur ses voisins européens », insiste Jason McGuinness. Le planning définitif des fermetures et des lignes concernées pour l’été 2026 n’a pas encore été communiqué officiellement. Ryanair conditionne toute reprise à une révision de la fiscalité aérienne, expliquant qu’« en supprimant cette taxe, la France pourrait retrouver une croissance ambitieuse du trafic, des investissements et de l’emploi ».
Pas de détails sur quels aéroports seraient concernés.
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the traveler
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Re: Ryanair en France
Vatry n’as pas été quitte
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the traveler
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Re: Ryanair en France
Bergerac a des vols quotidiens sur STN / Ryanair n’opère pas à DOL mais DLE , il n’y aucun vols non plus sur CFE et LRH
Re: Ryanair en France
Aucun vol, ou aucuns vols... au choixthe traveler a écrit : ↑mar. 11 nov. 2025, 13:44Bergerac a des vols quotidiens sur STN / Ryanair n’opère pas à DOL mais DLE , il n’y aucun vols non plus sur CFE et LRH
Re: Ryanair en France
Je ne vois aucun vol sur Bergerac/stansted reservable.Bergerac a des vols quotidiens sur STN / Ryanair n’opère pas à DOL mais DLE , il n’y aucun vols non plus sur CFE et LRH
Les réservations sont bien ouvertes sur LRH sauf OPO.
Re: Ryanair en France
Sur Bergerac Londres-STN, le calendrier indique en effet des vols quotidiens, mais il s'agit d'une erreur d'affichage car lorsque l'on regarde pour choisir le vol, tous les vols sont affichés complets pour chacune des dates, annonçant très probablement la fermeture de la ligne. La Rochelle conserve effectivement ses vols sauf vers Porto.
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Supro Duction
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Re: Ryanair en France
Bon débarras, les syndicats mixtes récupèreront leurs budgets pour financer des entreprises et/ou des lignes crééant plus de valeur ajoutée pour les communautés locales.Sachavion34 a écrit : ↑mar. 11 nov. 2025, 13:33 https://www.air-journal.fr/2025-11-09-h ... 67131.html
Ryanair, première compagnie aérienne en Europe, quittera plusieurs aéroports régionaux français au début de la saison estivale 2026, invoquant « une fiscalité de plus en plus lourde » en France.
Jason McGuinness, directeur commercial de la low cost irlandaise, l’a confirmé dans un entretien exclusif à Challenges.fr : « Nous quitterons plusieurs aéroports régionaux français cet été. Quand vous augmentez les impôts de 180%, cela rend ces aéroports non viables pour nous ». Cette situation résulte de la hausse de la Taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA, dite « taxe Chirac »), triplée pour atteindre 7,40 euros en moyenne pour un vol moyen-courrier, contre 2,60 euros précédemment.
Ryanair n’en est pas à son premier retrait du marché français. En 2025 déjà, la compagnie avait cessé ses opérations à Bergerac, Brive et Strasbourg, supprimant 25 lignes et réduisant sa capacité hivernale de 13%, soit 750 000 sièges en moins. Elle avait également quitté Vatry au printemps et menacé d’autres plateformes pour les mêmes raisons. « La France risque de perdre encore plus de capacité et d’investissements au profit de marchés plus compétitifs à l’horizon de l’été 2026 », menaçait déjà la low cost l’an dernier.
Cette stratégie ne se limite pas à la France : en 2025, Ryanair avait également réduit son offre en Allemagne, Espagne, Autriche, Estonie et Lettonie, préférant investir dans des aéroports où la fiscalité est jugée plus attractive, comme en Pologne, Suède et plusieurs régions italiennes.
Un impact local et des critiques sur la politique fiscale
Pour Ryanair, la hausse de la fiscalité aérienne nuit à la compétitivité des régions françaises. « Cette taxe est l’exemple parfait d’une mesure contre-productive. La France accuse un retard sur ses voisins européens », insiste Jason McGuinness. Le planning définitif des fermetures et des lignes concernées pour l’été 2026 n’a pas encore été communiqué officiellement. Ryanair conditionne toute reprise à une révision de la fiscalité aérienne, expliquant qu’« en supprimant cette taxe, la France pourrait retrouver une croissance ambitieuse du trafic, des investissements et de l’emploi ».
Pas de détails sur quels aéroports seraient concernés.
Cette entreprise a voulu faire croire qu'elle était la seule alternative en innondant le marché. Mais le Shein du transport aérien n'est aucunement une obligation.