Low-Cost & Tourisme de Masse
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
A propos du Japon, reportage de la télévision locale.
Les aéroport sont des difficultés à approvisionner en kérozène les compagnies en raison de la forte augmentation des vols.
Les compagnies sont invitées à emporter un peu plus de kérozene.
https://youtu.be/efRF9fNDLB4?si=B1t8sHqwHPJyZ61M
Le tourisme a explosé au Japon et cela perturbe un peu le Japonais.
Aussi, face à l'augmentation du trafic, n'est ce pas une manière de limiter le trafic et donc d'avoir moins de touristes mais des touristes plus qualitatifs ?
Les aéroport sont des difficultés à approvisionner en kérozène les compagnies en raison de la forte augmentation des vols.
Les compagnies sont invitées à emporter un peu plus de kérozene.
https://youtu.be/efRF9fNDLB4?si=B1t8sHqwHPJyZ61M
Le tourisme a explosé au Japon et cela perturbe un peu le Japonais.
Aussi, face à l'augmentation du trafic, n'est ce pas une manière de limiter le trafic et donc d'avoir moins de touristes mais des touristes plus qualitatifs ?
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Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
PhilP14 a écrit : ↑jeu. 4 juil. 2024, 21:34"En revanche, les trois autres sentiers, empruntés par 40% des randonneurs, restent libres d'accès et gratuits." Il y a fort à parier que le taux d'utilisation de ces sentiers va grimper en flèche !Rwandair Express a écrit : ↑jeu. 4 juil. 2024, 21:25 Désormais, il faut payer pour la mythique ascension du mont Fuji
La mesure, entrée en vigueur ce lundi, reçoit un accueil favorable des randonneurs, tandis que le Japon fait face aux excès du tourisme.
https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/ ... i-20240701
Bref, "green business as usual" €£¥ au-delà de la restriction aux seuls gens aisés de la possibilité de découvrir le monde !
Le but est de faire en sorte de réduire la fréquentation sur le sentier principale sans la faire baisser à 0, car vous aurez de toute façon toujours des gens qui prendront le sentier principale, même si il faut payer.
Le reste se diluera sur les autres sentiers. Il y en a 3.
Parce que justement le problème du sur tourisme est de concentré un maximum d'activité sur une petite zone, ici le sentier Yoshida qui représente 60% de la fréquentation.
Un peu comme le nouveau contournement de la Francilienne autour de Roissy qui permet de diluer le trafic routier autour de Roissy
C'est même un peu plus large. Des employés de Japan Airlines ont demandé des réunions urgentes avec leurs encadrants. Il y a récemment eu des accidents notamment du au manque de personnel (personnel renvoyé pendant le covid). Pas mieux non plus du coté contrôle aérien.intheair a écrit : ↑jeu. 4 juil. 2024, 21:55 A propos du Japon, reportage de la télévision locale.
Les aéroport sont des difficultés à approvisionner en kérozène les compagnies en raison de la forte augmentation des vols.
Les compagnies sont invitées à emporter un peu plus de kérozene.
https://youtu.be/efRF9fNDLB4?si=B1t8sHqwHPJyZ61M
Le tourisme a explosé au Japon et cela perturbe un peu le Japonais.
Aussi, face à l'augmentation du trafic, n'est ce pas une manière de limiter le trafic et donc d'avoir moins de touristes mais des touristes plus qualitatifs ?
Bref tout le monde est débordé par la forte demande. https://www.japantimes.co.jp/news/2024/ ... al-safety/
Il y a 113 postes vacants sur 2031 posts https://asianews.network/eight-airports ... eda-crash/
Rwanda Aviation News (Drones, Air Force, Civil Aviation, Space, Air Balloon): https://www.facebook.com/RwandAn-Flyer-153177931456873
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
j'ai passé récemment quelques jours à la Villa Bordeaux à Santorin que je ne peux que conseiller tant c'est tranquille, presque trop contrairement à ce que Mickaël O'Limite raconte.Mickaël O'Limite a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 09:06Sur les îles grecques, le tourisme jusqu'à l'overdose
https://www.lesechos.fr/industrie-servi ... se-2104722
Mykonos et Santorin, Rhodes ou Corfou… défigurées par le développement effréné du tourisme, les plus connues des îles grecques font l'objet d'une pression suffocante. Une prise de conscience tardive émerge.
Quelques extraits ci-dessous :
Inaccessible
L'île est « saturée », répète depuis 2012 l'élu à qui veut bien l'entendre. L'an dernier, plus d'un touriste sur dix qui s'est rendu en Grèce a mis le pied sur Santorin, soit 3,4 millions de personnes. La construction effrénée d'hôtels, de résidences à louer et de grands complexes immobiliers de luxe a défiguré le paysage. En été, la densité de population - plus de 1.000 personnes au kilomètre carré - rend difficile l'approvisionnement en eau et en électricité.
Les déchets s'amoncellent. Les embouteillages en heure de pointe sont dignes de ceux d'Athènes. La flambée des prix empêche les travailleurs essentiels (médecins, pompiers, policiers, enseignants) de trouver de quoi se loger. L'île est devenue inaccessible à la très grande majorité des Grecs.
Pour les quelque 22.000 résidents à l'année, la manne du tourisme ne suffit plus à apaiser. « L'île a perdu tout ce qu'elle avait de traditionnel, et chaque année ça empire », se désole Kostas, qui tient depuis dix-huit ans un restaurant traditionnel - l'un des derniers - sur la principale artère de Thira, la capitale de Santorin.
Les îles grecques et leur carte postale de soleil et de mer, de tavernes et de maisons blanchies à la chaux, font l'objet d'une « pression suffocante », écrit le médiateur de la République hellénique. Dans un rapport de 170 pages publié en juin, l'autorité indépendante tire la sonnette d'alarme et prévient que la Grèce « ne doit pas épuiser son potentiel, le gaspiller et rendre nos destinations touristiques peu attractives au fil du temps ».
Mykonos et Santorin, mais aussi Amorgos, Rhodes, Corfou, Zakynthos, Tinos… le surtourisme et ses problématiques - surconstruction, saturation des aires urbaines, perte d'identité et du patrimoine, dégradation de la qualité de vie des habitants - touchent désormais, de près ou de loin, les plus populaires des îles grecques.
La tranquillité de Piso Livadi est trompeuse. Paros est l'une des îles grecques les plus fréquentées, après Santorin et Mykonos, et pourrait prendre une trajectoire similaire une fois terminé le projet d'extension de l'aéroport. Flambée des prix, bouchons, problèmes d'approvisionnement en eau : l'été, ici aussi, le surtourisme a des conséquences très concrètes.
Le personnel grec et local n'a pas l'air stressé... Aucun problème pour l'eau... les piscines et spa restent accessibles !
Pour l'anecdote, l'arrivé en hélicoptère depuis Athènes est un pur moment de bonheur. C'est quant même plus glamour que de tourner autour de 3 éoliennes en mer pour finalement se poser sur bateau plateforme.
Cette personne doit très certainement voter VOX (le parti d'extrême droite espagnol) !Mickaël O'Limite a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 09:21 Aux Canaries, ravagées par le surtourisme: «Sur mon île, je ne suis plus chez moi»
https://www.letemps.ch/monde/europe/aux ... s-chez-moi
Extrêmement dépendant et fragile, l’archipel des Canaries est le territoire espagnol qui souffre le plus de la concentration touristique
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
oui peut être oui, c'est son avis. Souvent les politiques sont dans le dénis voir le mensonge d'autant plus quant on est proche des thèses de l'aube dorée.Mickaël O'Limite a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 10:18 Il faudrait peut-être arrêter de mentir. L'article des Échos rapporte les propos du Maire de Santorin. Je pense qu'il sait mieux de quoi il parle qu'un touriste qui a fait un tour en hélicoptère
Par ailleurs, je n'ai pas fait qu'un tour et contrairement à toi j'arrive à prendre de la hauteur surtout d'esprit !
Cela n'a pas l'air d'être une enfer pour ces personnes qui année après année se retrouvent sur les même sites !Mickaël O'Limite a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 10:23 Cette photo dit tout de l'enfer que sont devenus ces sites touristiques.
![]()
De plus personne ne vous force à partager ses instants avec eux.
Vous être libre de vous rendre à PYONGYANG. Une ville où pour le moment les touristes de manière générale se font rares.
Cela vous permettra de vous détendre en toute quiétude !
Et quand je vois la moyenne d'âge, on voit au combien la porté des propos de Greta Thunberg financée par l'héritière (milliardaire) de la Getty Oil sont inopérant.
Tant mieux pour nos libertés !
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Il ne faut pas être devin pour savoir que l'augmentation de la desserte aérienne sur des sites va augmenter leur fréquentation.
Or toutes les compagnies veulent aller sur ces hotspots et tous les aeroports de départ veulent leur liaison avec le hotspot.
Le problème des îles est que la diffusion des touristes ne peut pas se faire. Sur le continent elle peut se faire même si il reste des hotspots dans certains sites.
Le soucis est d'une part l'extension des capacités d'hebergement avec les Airbnb qui remplacent les habitants et changent la metamorphose des lieux,
Mais aussi les aéroports qui recevoient sans limite, ou avec uniquement leur limite technique, et agrandissent leur capacité d'accueil.
Sans remettre en cause le ciel ouvert européen, ne faudrait il pas mettre d'un côté des licences aux hebergements type Airbnb pour les limiter mais aussi mettre des slots sur les aéroports, pour recevoir la quantité maximale de touriste que le territoire peut absorber.
De plus cela permettra également de réhausser les prix et donc bénéfique pour les destinations.
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses.
Article sur la Suisse, avec tout de même quelques hotspots de tourisme de masse mais assez préservé de ces phénomènes.
https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/ ... e-20240705
Or toutes les compagnies veulent aller sur ces hotspots et tous les aeroports de départ veulent leur liaison avec le hotspot.
Le problème des îles est que la diffusion des touristes ne peut pas se faire. Sur le continent elle peut se faire même si il reste des hotspots dans certains sites.
Le soucis est d'une part l'extension des capacités d'hebergement avec les Airbnb qui remplacent les habitants et changent la metamorphose des lieux,
Mais aussi les aéroports qui recevoient sans limite, ou avec uniquement leur limite technique, et agrandissent leur capacité d'accueil.
Sans remettre en cause le ciel ouvert européen, ne faudrait il pas mettre d'un côté des licences aux hebergements type Airbnb pour les limiter mais aussi mettre des slots sur les aéroports, pour recevoir la quantité maximale de touriste que le territoire peut absorber.
De plus cela permettra également de réhausser les prix et donc bénéfique pour les destinations.
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses.
Article sur la Suisse, avec tout de même quelques hotspots de tourisme de masse mais assez préservé de ces phénomènes.
https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/ ... e-20240705
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Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Qui a transformé les habitations en hébergement type Airbnb : pour une très grande majorité des locaux qui en vivent où qui ont vendu pour faire une plus value !intheair a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 12:50 Il ne faut pas être devin pour savoir que l'augmentation de la desserte aérienne sur des sites va augmenter leur fréquentation.
Or toutes les compagnies veulent aller sur ces hotspots et tous les aeroports de départ veulent leur liaison avec le hotspot.
Le problème des îles est que la diffusion des touristes ne peut pas se faire. Sur le continent elle peut se faire même si il reste des hotspots dans certains sites.
Le soucis est d'une part l'extension des capacités d'hebergement avec les Airbnb qui remplacent les habitants et changent la metamorphose des lieux,
Mais aussi les aéroports qui recevoient sans limite, ou avec uniquement leur limite technique, et agrandissent leur capacité d'accueil.
Sans remettre en cause le ciel ouvert européen, ne faudrait il pas mettre d'un côté des licences aux hebergements type Airbnb pour les limiter mais aussi mettre des slots sur les aéroports, pour recevoir la quantité maximale de touriste que le territoire peut absorber.
De plus cela permettra également de réhausser les prix et donc bénéfique pour les destinations.
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses.
Article sur la Suisse, avec tout de même quelques hotspots de tourisme de masse mais assez préservé de ces phénomènes.
https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/ ... e-20240705
La seule limite étant le capacitaire (hébergements et aériens très souvent).
quant à dire que cela permet de réhausser le prix... j'ai payé presque 6000 € d'hébergement !
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses : c'est vrai en divisant cette richesse créée par nombre de touristes et encore cela reste discutable. La Grèce, par exemple, peut elle se priver d'un 1/4 de son PIB ???
Mis à part les régimes dictatoriaux et autres autocratie qui peuvent flécher plus largement leurs touristes d'un point A vers point B, dans les démocraties cela n'est pas possible.
Nous en avons l'exemple parfait avec Mickaël O'Limite qui se rêve en autocrate pouvant dire avec assez de suffisance: qui doit voyager, comment consommer et fixer des limites qu'ils ne s'imposent à lui même bien entendu où autres" écolos" comme Jean-Marc Jancovici qui souhaite de façon péremptoire 2 AR en avion dans une vie alors que depuis sa jeunesse il a parcouru le monde. Repeint en vert, il critique la démocratie tout en se tout en fricotant avec les gros pollueurs de la planète.
Elle est pas belle la vie chez ses gens...
Si régulation il doit y avoir elle se fera d'elle même.
En attendant, il s'agit de vivre il y assez de contrainte au quotidien pour ne pas s'en imposer plus...
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
On n'est pas dans la même optique, manifestement.intheair a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 12:50
Sans remettre en cause le ciel ouvert européen, ne faudrait il pas mettre d'un côté des licences aux hebergements type Airbnb pour les limiter mais aussi mettre des slots sur les aéroports, pour recevoir la quantité maximale de touriste que le territoire peut absorber.
De plus cela permettra également de réhausser les prix et donc bénéfique pour les destinations.
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses.
Vous êtes dans le clan de ceux qui voudraient "rehausser les prix", ce qui serait "bénéfique pour les destinations" et créerait davantage de richesse pour elles. Tout serait donc subordonné au profit : se faire le maximum de pognon qu'on peut extraire des voyageurs, avec un minimum de désagréments pour les heureux bénéficiaires.
Et il y a le clan de ceux qui voyagent et qui paient déjà souvent bien cher - et qui n'ont pas envie de voir les prix augmenter encore, par exemple à cause d'une limitation délibérée du nombre de vols. On ne voyage pas dans le but principal voire unique d'enrichir les indigènes à destination, on voyage pour son plaisir en acceptant de payer un prix honnête pour les services fournis. Ce n'est pas la même chose.
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Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Ah parce que pour vous le tourisme de masse c'est n'es pas se faire de l'argent sur le dos des plus faibles et d’exclure des gens :Gosselies a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 15:40On n'est pas dans la même optique, manifestement.intheair a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 12:50
Sans remettre en cause le ciel ouvert européen, ne faudrait il pas mettre d'un côté des licences aux hebergements type Airbnb pour les limiter mais aussi mettre des slots sur les aéroports, pour recevoir la quantité maximale de touriste que le territoire peut absorber.
De plus cela permettra également de réhausser les prix et donc bénéfique pour les destinations.
Le tourisme de masse saisonnier n'est pas celui qui crée le plus de richesses.
Vous êtes dans le clan de ceux qui voudraient "rehausser les prix", ce qui serait "bénéfique pour les destinations" et créerait davantage de richesse pour elles. Tout serait donc subordonné au profit : se faire le maximum de pognon qu'on peut extraire des voyageurs, avec un minimum de désagréments pour les heureux bénéficiaires.
Et il y a le clan de ceux qui voyagent et qui paient déjà souvent bien cher - et qui n'ont pas envie de voir les prix augmenter encore, par exemple à cause d'une limitation délibérée du nombre de vols. On ne voyage pas dans le but principal voire unique d'enrichir les indigènes à destination, on voyage pour son plaisir en acceptant de payer un prix honnête pour les services fournis. Ce n'est pas la même chose.
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prix des loyers en hausse dont les locaux en sont les 1ere victimes, destruction de l'environnement, dégradations des infrastructures, contrats saisonniers ultra précaires car on ne dilue pas la fréquentation touristique sur l'année mais que sur des périodes de pointes, fermeture des commerces de proximités au profit de grands centres commerciaux de bars restaurant ou boutiques dont la population locale ne peut pas bénéficier car parfois hors de prix, rendre des régions totalement dépendantes du tourisme et donc aucune capacité à développer d'autres secteurs économiques en cas de crise.
J'ai quand même l'impression qu'ici certains se foutent complétement du sort des employés du tourisme ou de l'aérien ou des habitants victimes du tourisme de masse et qui demandent juste une meilleur régulation. C'est limite on est ton gagne pain, donc tais toi. Si tu n'es pas contente change de boulot ou déménage. Comme si c'était aussi facile.
Rwanda Aviation News (Drones, Air Force, Civil Aviation, Space, Air Balloon): https://www.facebook.com/RwandAn-Flyer-153177931456873
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Le touriste, qu'il soit "de masse" ou pas "de masse", ne se fait pas d'argent sur le dos de qui que ce soit. Non seulement il ne se fait pas d'argent mais au contraire c'est lui qui paie, et qui débourse parfois bien cher.Rwandair Express a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 19:16
Ah parce que pour vous le tourisme de masse c'est n'es pas se faire de l'argent sur le dos des plus faibles et d’exclure des gens :
J'ai quand même l'impression qu'ici certains se foutent complétement du sort des employés du tourisme ou de l'aérien ou des habitants victimes du tourisme de masse et qui demandent juste une meilleur régulation.
Chacun voit midi à sa porte.
S'il ne faut pas se désintéresser du sort des employés du tourisme ou de l'aérien, il ne faut pas non plus se désintéresser du sort des cochons de payants, c'est à dire les voyageurs, les clients. Sans employés, pas de voyages, d'accord; mais sans voyageurs, plus de travail pour les employés.
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
L'illusion de pouvoir bénéficier du beurre et de l'argent du beurre est vieille comme le monde mais le "tourisme écoresponsable" d'aujourd'hui y croit encore...Gosselies a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 21:03Le touriste, qu'il soit "de masse" ou pas "de masse", ne se fait pas d'argent sur le dos de qui que ce soit. Non seulement il ne se fait pas d'argent mais au contraire c'est lui qui paie, et qui débourse parfois bien cher.Rwandair Express a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 19:16
Ah parce que pour vous le tourisme de masse c'est n'es pas se faire de l'argent sur le dos des plus faibles et d’exclure des gens :
J'ai quand même l'impression qu'ici certains se foutent complétement du sort des employés du tourisme ou de l'aérien ou des habitants victimes du tourisme de masse et qui demandent juste une meilleur régulation.
Chacun voit midi à sa porte.
S'il ne faut pas se désintéresser du sort des employés du tourisme ou de l'aérien, il ne faut pas non plus se désintéresser du sort des cochons de payants, c'est à dire les voyageurs, les clients. Sans employés, pas de voyages, d'accord; mais sans voyageurs, plus de travail pour les employés.
La réduction du surtourisme, si elle doit intervenir, ne se fera pas sans casse !
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Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
On ne parle pas forcément de décroissance, mais de faire en sorte qu'il n y ait pas de fortes concentrations au même endroit, car le drame est que certains lieux ne deviennent plus fréquentables.
En Thaïlande, pendant 4 ans (la pandémie a retardé la réouverture) ils ont du fermé la plage ou le film 'La Plage' avec Di Caprio, Canet et Casta avaient été tournés.
Mais comme expliqué dans le cas de l'Asie du Sud Est, certains tours opérateurs font mine d'esquiver certaines destinations (et sur internet ce sont las algorithmes https://www.google.com/search?q=algorit ... s-wiz-serp) pourtant intéréssant (parce qu'ils savent que peu de personnes réserveront un tour dans ce lieu) et misent sur des lieux sur fréquentées là ou ça fait du chiffre. Évidement quand un pays décide de mettre en place des quotas ça gueule. Ce fut le cas en Thaïlande, ou le gouvernement n'a pas cédé quand il a fallut fermer temporairement des lieux.
Et pour finir, certains pays qui ont un potentiel touristique énorme n'ont jamais voulu développer un tourisme de masse (et ils l'assument). Paradoxalement certains font même partie des pays les plus pauvres au monde:
Sao Tome E Principe
Rwanda
Laos (quoique du coté Luang Prabang ça commence un peu a chauffer avec Les Chinois, mais dans le reste du pays c'est calme)
Mongolie
Gabon
En Thaïlande, pendant 4 ans (la pandémie a retardé la réouverture) ils ont du fermé la plage ou le film 'La Plage' avec Di Caprio, Canet et Casta avaient été tournés.
La baie thaïlandaise, rendue célèbre par le film "La Plage" avec Leonardo DiCaprio, restera fermée jusqu'en 2021 afin d'obtenir une restauration complète des récifs coraliens détruits par le tourisme de masse, a-t-on appris jeudi auprès des autorités. https://www.geo.fr/environnement/thaila ... 021-195565
Autre exemple, les Emirats. Dubaï est sur fréquentée alors que par exemple à la frontière avec Oman du coté Sharjah qui est la capitale culturelle des Émirats arabes unis, il y a des choses intéressantes à voir. Mais vous demandez dans la rue si quelqu'un a entendu parler de Sharjah , je pense que peu de personne vous répondront par oui.Outre le réchauffement climatique, est pointé du doigt le comportement des touristes, qui n'hésitent pas à marcher sur les coraux, mais aussi la surabondance de tour-opérateurs et l'absence de régulation sur ces îles censées être protégées par leur statut de parcs nationaux.
Ce même phénomène de surpopulation touristique et son impact sur le fragile écosystème des îles se retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est.
Les Philippines ont rouvert en octobre l'île de Boracay, après six mois de fermeture, en imposant de nouvelles règles pour lutter contre les ravages environnementaux du tourisme de masse.
Mais comme expliqué dans le cas de l'Asie du Sud Est, certains tours opérateurs font mine d'esquiver certaines destinations (et sur internet ce sont las algorithmes https://www.google.com/search?q=algorit ... s-wiz-serp) pourtant intéréssant (parce qu'ils savent que peu de personnes réserveront un tour dans ce lieu) et misent sur des lieux sur fréquentées là ou ça fait du chiffre. Évidement quand un pays décide de mettre en place des quotas ça gueule. Ce fut le cas en Thaïlande, ou le gouvernement n'a pas cédé quand il a fallut fermer temporairement des lieux.
Et pour finir, certains pays qui ont un potentiel touristique énorme n'ont jamais voulu développer un tourisme de masse (et ils l'assument). Paradoxalement certains font même partie des pays les plus pauvres au monde:
Sao Tome E Principe
Rwanda
Laos (quoique du coté Luang Prabang ça commence un peu a chauffer avec Les Chinois, mais dans le reste du pays c'est calme)
Mongolie
Gabon
Rwanda Aviation News (Drones, Air Force, Civil Aviation, Space, Air Balloon): https://www.facebook.com/RwandAn-Flyer-153177931456873
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Parlé de drame, n'exagérons rien. Personnes ne forcent de s'entasser sur une même plage, de visiter la même ville au même moment !
Résumé la Thaïlande à Ko Fi Fi est particulièrement osée. C'est comme comparée le mur de verre autour de la Tour Eiffel pour réguler son accès et dire que la France prend des mesures coercitives.
Pour les Emirats Arabes Unies, Chârdjah est à 20 mn de Dubaï (les deux aéroports sont moins distant qu'Orly et Roissy). C'est la même agglomération mais pas le même émirat (équivalent de région) L'émirat de Chârdjah est plutôt traditionnaliste et rigoriste (par exemple l'alcool est strictement interdit même dans les hôtels). La charia de l'EAU y est appliquée de manière plus ferme que sur l'émirat de Dubaï. Pour un occidental, cela peut être repoussoir. Par contre, il y a de nombreux touristes "musulmans" dans cette émirat qui sont très heureux. Au final, un occidental logera à Dubaï, un touriste musulman pratiquant à Chârdjah. Il est tout à fait possible de faire de faire des trecks, d'aller vers les autres émirats bordant la frontière avec Oman sans aucun problème.
Quant aux moteurs de recherche, ils ne font que répondre à ce que souhaite voir le consultant ni plus ni moins et de manière de plus en plus affinées.
Et pour finir Sao Tome E Principe : l'ile n'est pas facilement accessible et il y a très certainement plus de touristes venant des pays bordant le golfe de guinée que du golfe de Bengale. Et pourquoi pas avoir cité : Nauru tant qu'à faire !
Rwanda : comment dire ! les massacres ethniques sont encore récents dans la tête de nombreuses personnes malgré la stabilité retrouvée. Là aussi, on est plus sur un tourisme de niche en surfant sur tourisme durable . C'est respectable
Le laos, un régime communiste où il fait bon vivre aux infrastructures inexistantes ou presque avec un risque sécuritaire élevée pour un occidental !
Mongolie : mis à part les steppes (pour faire simple), le manque d'infrastructure est un frein,
Gabon, là aussi on est sur un tourisme de niche tant les infrastructures ne sont pas au niveau pour un pays au bord de la faillite.
Il est à noter que sur les pays que vous citez tous quasiment sont des régimes autoritaires pour un occidental à l'exception de la Mongolie quoique.
Vous auriez pu ajouter l'Algérie qui surfe sur les deux tableaux : tourisme de masse interne sur ses côtes et de niches partout ailleurs : régime autoritaire, infrastructures hôtelières déficientes, accessibilité possible mais sous contrôle permanent, mais une culture et un patrimoine plus qu'exceptionnels... contrairement à la Tunisie où au Maroc par exemple où le tourisme interne est presque inexistant.
Sans parler du tourisme migratoire, chaque pays définie sa propre politique touristique : qui il peut ou veut recevoir, comment, quand et où.
Au final, au touriste (selon son origine, de sa zone de vie, de ses convictions, de son porte monnaie, de sa culture, de son age et physique...) de composer son propre espace de liberté avec toute les contraintes qu'il est capable de supporter.
Résumé la Thaïlande à Ko Fi Fi est particulièrement osée. C'est comme comparée le mur de verre autour de la Tour Eiffel pour réguler son accès et dire que la France prend des mesures coercitives.
Pour les Emirats Arabes Unies, Chârdjah est à 20 mn de Dubaï (les deux aéroports sont moins distant qu'Orly et Roissy). C'est la même agglomération mais pas le même émirat (équivalent de région) L'émirat de Chârdjah est plutôt traditionnaliste et rigoriste (par exemple l'alcool est strictement interdit même dans les hôtels). La charia de l'EAU y est appliquée de manière plus ferme que sur l'émirat de Dubaï. Pour un occidental, cela peut être repoussoir. Par contre, il y a de nombreux touristes "musulmans" dans cette émirat qui sont très heureux. Au final, un occidental logera à Dubaï, un touriste musulman pratiquant à Chârdjah. Il est tout à fait possible de faire de faire des trecks, d'aller vers les autres émirats bordant la frontière avec Oman sans aucun problème.
Quant aux moteurs de recherche, ils ne font que répondre à ce que souhaite voir le consultant ni plus ni moins et de manière de plus en plus affinées.
Et pour finir Sao Tome E Principe : l'ile n'est pas facilement accessible et il y a très certainement plus de touristes venant des pays bordant le golfe de guinée que du golfe de Bengale. Et pourquoi pas avoir cité : Nauru tant qu'à faire !
Rwanda : comment dire ! les massacres ethniques sont encore récents dans la tête de nombreuses personnes malgré la stabilité retrouvée. Là aussi, on est plus sur un tourisme de niche en surfant sur tourisme durable . C'est respectable
Le laos, un régime communiste où il fait bon vivre aux infrastructures inexistantes ou presque avec un risque sécuritaire élevée pour un occidental !
Mongolie : mis à part les steppes (pour faire simple), le manque d'infrastructure est un frein,
Gabon, là aussi on est sur un tourisme de niche tant les infrastructures ne sont pas au niveau pour un pays au bord de la faillite.
Il est à noter que sur les pays que vous citez tous quasiment sont des régimes autoritaires pour un occidental à l'exception de la Mongolie quoique.
Vous auriez pu ajouter l'Algérie qui surfe sur les deux tableaux : tourisme de masse interne sur ses côtes et de niches partout ailleurs : régime autoritaire, infrastructures hôtelières déficientes, accessibilité possible mais sous contrôle permanent, mais une culture et un patrimoine plus qu'exceptionnels... contrairement à la Tunisie où au Maroc par exemple où le tourisme interne est presque inexistant.
Sans parler du tourisme migratoire, chaque pays définie sa propre politique touristique : qui il peut ou veut recevoir, comment, quand et où.
Au final, au touriste (selon son origine, de sa zone de vie, de ses convictions, de son porte monnaie, de sa culture, de son age et physique...) de composer son propre espace de liberté avec toute les contraintes qu'il est capable de supporter.
Modifié en dernier par lyonaf le dim. 7 juil. 2024, 10:40, modifié 1 fois.
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Oui vous avez raison, on voit bien que vous êtes adepte de son antonyme. C'est flagrant !
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Je ne suis pas anti avion, je ne souhaite pas revenir sur la deregulation du secteur.lyonaf a écrit : ↑sam. 6 juil. 2024, 14:50La seule limite étant le capacitaire (hébergements et aériens très souvent). (...)
Nous en avons l'exemple parfait avec Mickaël O'Limite qui se rêve en autocrate pouvant dire avec assez de suffisance: qui doit voyager, comment consommer et fixer des limites qu'ils ne s'imposent à lui même bien entendu où autres" écolos" comme Jean-Marc Jancovici qui souhaite de façon péremptoire 2 AR en avion dans une vie alors que depuis sa jeunesse il a parcouru le monde. (...)
Si régulation il doit y avoir elle se fera d'elle même.
En attendant, il s'agit de vivre il y assez de contrainte au quotidien pour ne pas s'en imposer plus...
Je prends regulièrement l'avion, principalement pour des besoins (que je me suis crée il est vrai) sans honte ni ventardise.
Mais il arrive un moment où certains sites souffrent d'une surfrequentation. Et dans ce cas il est bon que les autorités politique locales decident de limiter l'importation de touristes en termes qualitatifs et gardent la main sur la transformation d'hebergement en logement.
Saint Malo (mairie de droite, enfin droite bretonne) a mis en place une politique très volontariste dans ce domaine face à une situation qui entrainait de nombreux désagréments.
L'île de Brehat (également en Bretagne) limite l'afflux de touristes quotidiennement, via un accès maritime. Cela pourrait se faire également sur un aéroport.
C'est certainement faire preuve de courage politique, sur le court terme il y aura des perdants, mais sur le long terme cela sera bénéfique. Je pense à l'économie du territoire mais sans être un khmer vert, également pour l'aspect ecologique (au sens large).
Come on, let's fly
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Non nous ne sommes pas opposé.
J'ai eu ma periode où je faisais de nombreux voyages en avion, aller retour journée avec Easyjet, puis des courts séjours. Cela m'allait bien et je ne le renie pas.
Vous le faites toujours et comme je l'ai déja dit ici, content pour vous.
Mais sur certains territoires, si l'afflux est trop important, il faut le réguler.
Cela fera certes augmenter les prix car l'offre baissera.
Mais alors il y aura d'autres destinations à prix attractif qui se développeront.
Et peut être le touriste évoluera, choisira une période plus creuse car moins chère, ou réduira sa consommation de voyage pour faire des voyages au coût unitaire plus élevé.
Come on, let's fly
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Contrairement à vous, je n'ai pas besoins de citer la mouvance au quelle vous faîtes allégeance. On voit avec des milliers de lois et règlementations que vous avez consenti au mieux en votant au pire en participant activement à ces lois et règlementation où on en arrive !Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25
dictature, autocratie. Le discours outrancier du droitardé de base dès qu'il s'agit de réguler des excès. Il existe des milliers de lois et règlementations économiques pour éviter que les entreprises ne fassent n'importe quoi ; temps de travail, pratiques concurrentielles, prix, etc.
Où sont passer vos milliers de lois et règlementations ?Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25
Le tourisme n'est pas assez régulé et ses excès génèrent de graves problèmes comme ces deux articles le montrent. C'est un fait qu'il faut reconnaître. Le nier relève juste du mensonge pur et simple. Le transport aérien low cost a aggravé ce phénomène. Je pense qu'il est indispensable de revenir à des proportions plus raisonnables.
A titre personne ne vous y oblige, il n'y a pas de loi ou règlementation à ce sujet !Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25 Il ne s'agit pas seulement de diffuser dans le temps ou l'espace, mais aussi d'offrir d'autres manières de se divertir sans émettre des tonnes de CO2 et boire les derniers litres d'eau potable disponibles entre deux incendies majeurs et une canicule meurtrière.
Vous avez la possibilité de passer une séjour en antartique, personne ne vous force à aller Hammamet ou à Palavas. Le mieux étant de rester où vous êtes.Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25 Le modèle du tourisme héliotropique balnéaire est une invention commerciale qui nous a été martelée par la publicité depuis 60 ans. On vivait très bien et on était heureux sans également. C'est le degré 0 du voyage et de l'apprentissage culturel que d'aller rien faire au bord d'une piscine dans un hôtel standardisé qui ressemble à un autre dans n'importe quel pays.
Privilégier la création de valeur essentielle ! les votre très certainement à force de lois et de règlementations ! Et ce qui est essentiel pour vous ne l'est pas pour d'autres.Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25 Le transport aérien moderne contribue considérablement à ce modèle consumériste. C'est désastreux pour la planète. Et ce ne sont pas des certifications artificielles comme ACA ou trois tracteurs de push électriques qui vont changer la donne. Le secteur doit se remettre en question en profondeur, sortir de son modèle de croissance extensive et privilégier la création de valeur essentielle pour tous au lieu de se spécialiser dans le tout tourisme balnéaire.
Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:33 "Ça suffit !" : exaspérés, les Barcelonais manifestent contre le surtourisme
https://www.tf1info.fr/international/vi ... 07448.html
Samedi, des milliers de personnes ont manifesté à Barcelone pour dénoncer le surtourisme dont est victime la capitale de la Catalogne...
... environ 2800 manifestants, ...
2800 personnes sur une population de 1 600 000 habitants !
Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25 Barcelone a accueilli l'année dernière plus de 12 millions de touristes, selon la municipalité. Pour faciliter l'accès au logement des habitants, la mairie a récemment annoncé vouloir mettre un terme à la location d'appartements touristiques d'ici à 2029.
Des îles Baléares aux Canaries en passant par les grandes villes touristiques d'Andalousie comme Malaga, les mouvements hostiles au surtourisme se multiplient en Espagne. Deuxième destination touristique mondiale derrière la France, l'Espagne a accueilli l'an dernier un record de 85,1 millions de visiteurs étrangers. La région la plus visitée a été la Catalogne avec 18 millions de visiteurs, suivi des îles Baléares (14,4 millions) et les îles Canaries (13,9 millions). Le tourisme en Espagne représente 12,8% du PIB et concentre 12,6% des emplois.
Des mouvements hostiles, généralement des extrêmistes de gauche et kmers vert par dogmatisme où de droite par idéologie.
Très certainement selon le vent (vert) vous êtes un peu des deux pour des leçons de morale (à droite) que ne vous ne vous appliquez pas (à gauche) !
Inter duos nulla salus
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Commençons à taxer le kérosène au moins au niveau des autres carburants, et à l'échelle mondiale, ça serait un début de règlement du problème!
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Pourquoi pas mais à quel niveau ? jusqu'à quel effet ?
Jusqu'à retransférer St Ex à Bron ? que St Ex devienne le tempelhof lyonnais ?
Modifié en dernier par lyonaf le dim. 7 juil. 2024, 12:47, modifié 1 fois.
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Quelles proportions raisonnables ??Mickaël O'Limite a écrit : ↑dim. 7 juil. 2024, 11:25Le transport aérien low cost a aggravé ce phénomène. Je pense qu'il est indispensable de revenir à des proportions plus raisonnables.
Le modèle du tourisme héliotropique balnéaire est une invention commerciale qui nous a été martelée par la publicité depuis 60 ans. On vivait très bien et on était heureux sans également.
Le transport aérien moderne contribue considérablement à ce modèle consumériste.
Interdire l'avion en déplacement loisirs ?
Ou une autorisation (de qui ? De Greenpeace ?) autorisant chaque déplacement ?
Tourisme balnéaire n'est pas si mauvais,
J'ai passé les étés de mon enfance sur une plage, des souvenirs merveilleux. Pourquou les autres n'y auraient pas le droit ?
Mais vous pouvez dire la même chose des stations de sport d'hiver.
Mais ce tourisme de masse fut accepté en Espagne car il a aidé au développement du pays dans les années 80.
Idem pour les sports d'hiver qui font vivre les zones de montagne.
Mais oui il y a un moment où il faut limiter l'accès pour que ce tourisme de masse ne devienne pas insupportable. L'initiative de la ville de Barcelone n'est pas mauvaise. Mais il serait judicieux d'intervenir avant en accompagnant au lieu de le faire une fois que le trop plein est atteint.
Mais j'ai du mal à vous comprendre.
Vous avez un position anti transport aérien sur ce forum, mais vous souhaitez établir des lignes sur certains aéroports...
Come on, let's fly
Re: Low-Cost & Tourisme de Masse
Il peut faire penser à certain président d'un état européen... souvent dans le Ni Ni, pouvant dire tout et son contraire afin de satisfaire son égo avec un cocktail d arrogance relevé de suffisance et d'orgueil tout en favorisant une extrême.