Genève H 18/19
Re: Genève H 18/19
Qeshm Air officially confirms its plans to launch flights to Geneva, Switzerland. #Iran
sources:
https://twitter.com/aviationirancom
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https://twitter.com/aviationirancom
Re: Genève H 18/19
Jeudi prochain, ils devraient commencer..sr71 a écrit :Qeshm Air officially confirms its plans to launch flights to Geneva, Switzerland. #Iran
sources:
https://twitter.com/aviationirancom

Re: Genève H 18/19
Le vol de demain est sur le site de l’aeroport. Il devrait bien entendu être montré comme annulé d’ici demain. Pas de date pour le moment mais les papeasseries administratives devraient durer quelques mois supplémentaires.SR67 a écrit :Jeudi prochain, ils devraient commencer..sr71 a écrit :Qeshm Air officially confirms its plans to launch flights to Geneva, Switzerland. #Iran
sources:
https://twitter.com/aviationirancomy a-t-il des nouvelles sérieuses au sujet du lancement des vols ?
Sur un autre sujet mentionné quelques semaines auparavant, TK vient pour le 3ème dimanche d’affilée avec un vol ski supplémentaire en A333.
Re: Genève H 18/19
Jeudi prochain, ils devraient commencer..

Selon Dpts les vols sont postponed.
http://www.dpts.org/
Re: Genève H 18/19
https://m.tdg.ch/articles/5c5850e6ab5c372fd8000001
Bon article (abonnés seulement) de la tdg sur Qeshm Air. En gros, Qeshm a démarché un cabinet genevois pour l'aider à concrétiser la liaison. Gros chantier en perspective, question bancaire évidemment, d'autant que Qeshm est dans le viseur de l'admin américaine. L'enjeu est de réaliser un montage qui contourne les sanctions. Peut-être dans quelques mois?
Bon article (abonnés seulement) de la tdg sur Qeshm Air. En gros, Qeshm a démarché un cabinet genevois pour l'aider à concrétiser la liaison. Gros chantier en perspective, question bancaire évidemment, d'autant que Qeshm est dans le viseur de l'admin américaine. L'enjeu est de réaliser un montage qui contourne les sanctions. Peut-être dans quelques mois?
Re: Genève H 18/19
Bon article effectivment, j'ai tout de meme voulu clarifier que Qeshm Air n'est pas directement dans le viseur de l'adminstration Américaine au contraire de Mahan Air. Qeshm Air est "simplement" sous sanctions Américaines tout comme toutes les sociétés Iraniènnes le sont par défaut.
Re: Genève H 18/19
Sanctions ou pas, la ligne Genève-Téhéran est en vue
AviationQeshm Air a obtenu un créneau pour une desserte deux fois par semaine à Cointrin, depuis dimanche. La compagnie est dans le collimateur de l’administration Trump.
Une compagnie iranienne veut ouvrir une liaison aérienne entre Téhéran et Cointrin, dans le contexte chahuté des sanctions américaines sur la République islamique. Qeshm Air, elle-même dans le viseur de l’administration Trump, a obtenu un créneau pour faire atterrir un Airbus A320 dans le canton les dimanches et jeudis à midi et décoller une heure et demie plus tard, depuis le 3 février.
Une nouvelle qui réjouit dans le milieu. Sharif Nezam-Mafi, président de la Chambre de commerce Suisse-Iran, y voit un «très bon signal pour l’économie iranienne» et André Schneider, directeur de l’aéroport, une ligne qui «permettrait d’améliorer la connectivité du canton et de la Genève internationale à cette région du monde». Mais tous deux restent prudents: le «slot» (créneau) a beau être réservé, le groupe iranien ne vole pas encore vers Genève.
Qeshm Air doit au préalable régler une foule de détails. Certains diraient plutôt: franchir une montagne d’obstacles.
«Subject to sanctions»
«Demander un slot, c’est gratuit, mais on ne le fait pas juste comme ça. Si une compagnie demande un slot, c’est qu’elle a l’intention d’opérer le vol», relève tout d’abord Peter Dellenbach, directeur de Slot Coordination Switzerland, l’organisation qui gère les horaires d’arrivées et de départs des avions en Suisse.
André Schneider indique que les contacts avec Qeshm Air ont été noués en 2018 et que désormais la balle est dans le camp de l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC), où doit notamment se régler la question du droit de trafic aérien. L’institution fédérale confirme sans faire de commentaires.
Le sujet est épineux. Quand un transporteur veut ouvrir une liaison aérienne au sein de l’Union européenne, pas de problème: le marché est libéralisé depuis deux décennies. Mais pour un vol transcontinental, il doit faire face à un règlement complexe, supervisé par l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale, une instance onusienne à Montréal) et les autres compagnies nationales doivent être consultées.
Pour un groupe iranien, c’est encore plus difficile car depuis le 5 novembre, l’aviation est également visée par les sanctions américaines sur ce pays. Et Qeshm Air n’y échappe pas. Sur le site du Trésor américain, le département en charge des sanctions, une remarque apparaît sous son nom: «Subject to secondary sanctions». Interdiction absolue, autrement dit, pour une compagnie liée de près ou de loin avec les États-Unis de travailler avec Qeshm Air.
La compagnie a été fondée par Babak Zanjani, un milliardaire iranien condamné à mort (et qui attendrait son exécution) suite à une affaire de corruption. Elle appartiendrait depuis au Ministère iranien du pétrole. Qeshm Air a approché un cabinet genevois pour l’aider à lancer sa desserte bihebdomadaire dans le canton. Un beau défi.
Trouver une banque
«Aucune banque ne voudra traiter avec une entreprise sous sanctions américaines», indique une source qui préfère rester anonyme. À ses yeux, la seule solution pour convaincre une banque européenne de traiter avec Qeshm Air serait pour cette dernière d’ouvrir une entreprise dans un pays tiers, qui ouvrira à son tour une société de droit suisse sur sol helvétique pour diluer toute présence iranienne. «Et encore, rien n’est garanti car les banques vérifient de près avec qui elles travaillent», selon notre source.
Collaborer avec une banque pour lancer une liaison aérienne à Genève, c’est indispensable. Le transporteur doit effectuer des transactions auprès de ses partenaires, de Genève Aéroport aux entreprises d’assistance au sol (transport des bagages) en passant par le remplissage du kérosène (refueling).
En Europe, à peine une demi-douzaine de banques acceptent de traiter avec l’Iran, jamais en dollars, selon Laurent Sciboz, un consultant spécialisé sur l’Iran.
En théorie, si une entreprise suisse traite avec une consœur iranienne, qu’il n’y a aucune transaction en dollars et qu’il n’y a aucun lien avec les États-Unis, l’embargo américain sur l’Iran décrété par l’administration Trump n’est pas violé, estime Cyrus Siassi, un avocat président de la Chambre de commerce Iran-Suisse à Genève. Berne et Bruxelles ne suivent pas Washington dans sa politique vis-à-vis de Téhéran.
De nombreuses entreprises suisses se montrent néanmoins prudentes dans ce contexte, parce qu’il peut évoluer, de peur aussi d’être mises sur une liste noire par le Trésor américain, qui profère des menaces en ce sens. Les banques suisses disent toutes avoir cessé tout business avec le pays de Rohani, Credit Suisse notamment, qui collabore avec Genève Aéroport.
Liaison historique
Qeshm Air a ouvert une ligne à Hambourg durant l’été 2017, la première liaison vers l’Europe pour cette compagnie créée en 1993 pour relier l’île de Qeshm, entre le golfe Persique et celui d’Oman, à la capitale Téhéran. Le transporteur dit sur son site recenser aujourd’hui 21 appareils. Contactée, Qeshm Air n’a pas répondu.
La compagnie a officiellement annulé ses vols à Cointrin hier. La veille, dimanche, ils étaient donc annoncés sur les panneaux de l’aéroport, annoncés comme annulés mais affichés tout de même.
Si son A320 atterrit un jour à Genève, le groupe iranien rouvrirait une liaison historique dans le canton. Iran Air, la compagnie nationale, a relié Téhéran au bout du Léman pendant quarante-six ans, de 1965 à 2011. Le groupe avait cessé d’opérer à Cointrin non pas parce que la demande était en berne mais parce que, dans un contexte de sanctions américaines vis-à-vis de l’Iran (déjà), les entreprises de refueling et leurs banques ne voulaient plus travailler avec un groupe iranien.
Les poids lourds helvétiques restent en Iran
Les sanctions américaines épargnent le secteur humanitaire et les biens de première nécessité, des produits pharmaceutiques aux céréales. Les firmes pharmaceutiques mais aussi les maisons de négoce de grains, américaines mais également suisses, peuvent donc exporter leurs produits sans restriction dans la République islamique.
Novartis et Roche y écoulent un nombre grandissant de médicaments. Le leader mondial de la certification, SGS, basé à la place des Alpes, étoffe aussi ses services, tout comme Nestlé, qui prévoit d’y ouvrir une nouvelle usine. Les multinationales feraient attention de ne rien avoir à faire avec les États-Unis, et n’y emploieraient aucun ressortissant américain. Selon les douanes, les exportations helvétiques en Iran ont augmenté de près de 5% ces trois dernières années.
Des délégations économiques, genevoises puis vaudoises, ont effectué des voyages au pays de Rohani ces dernières années. De nombreuses PME romandes voient en l’Iran, un pays de plus de 80 millions d’habitants, un important marché.
De nombreuses PME suisses, effrayées par les sanctions, auraient tout de même freiné, sinon mis temporairement fin à leurs activités en Iran.
Des sociétés iraniennes sont aussi présentes en Suisse, comme Naftiran Intertrade Company – succursale domiciliée à Pully (VD) de la National Iranian Oil Company – une société étatique qui gère les réserves d’hydrocarbures d’Iran et dont les ventes se chiffrent en plusieurs dizaines de milliards de dollars.
Un demi-millier d’étudiants iraniens seraient présents en Suisse où une communauté iranienne s’est établie de longue date. Selon l’Office fédéral de la statistique, 5377 Iraniens étaient établis sur sol helvétique à la fin de 2017, soit 0,3% de la population étrangère résidente permanente, sans compter les binationaux.
AviationQeshm Air a obtenu un créneau pour une desserte deux fois par semaine à Cointrin, depuis dimanche. La compagnie est dans le collimateur de l’administration Trump.
Une compagnie iranienne veut ouvrir une liaison aérienne entre Téhéran et Cointrin, dans le contexte chahuté des sanctions américaines sur la République islamique. Qeshm Air, elle-même dans le viseur de l’administration Trump, a obtenu un créneau pour faire atterrir un Airbus A320 dans le canton les dimanches et jeudis à midi et décoller une heure et demie plus tard, depuis le 3 février.
Une nouvelle qui réjouit dans le milieu. Sharif Nezam-Mafi, président de la Chambre de commerce Suisse-Iran, y voit un «très bon signal pour l’économie iranienne» et André Schneider, directeur de l’aéroport, une ligne qui «permettrait d’améliorer la connectivité du canton et de la Genève internationale à cette région du monde». Mais tous deux restent prudents: le «slot» (créneau) a beau être réservé, le groupe iranien ne vole pas encore vers Genève.
Qeshm Air doit au préalable régler une foule de détails. Certains diraient plutôt: franchir une montagne d’obstacles.
«Subject to sanctions»
«Demander un slot, c’est gratuit, mais on ne le fait pas juste comme ça. Si une compagnie demande un slot, c’est qu’elle a l’intention d’opérer le vol», relève tout d’abord Peter Dellenbach, directeur de Slot Coordination Switzerland, l’organisation qui gère les horaires d’arrivées et de départs des avions en Suisse.
André Schneider indique que les contacts avec Qeshm Air ont été noués en 2018 et que désormais la balle est dans le camp de l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC), où doit notamment se régler la question du droit de trafic aérien. L’institution fédérale confirme sans faire de commentaires.
Le sujet est épineux. Quand un transporteur veut ouvrir une liaison aérienne au sein de l’Union européenne, pas de problème: le marché est libéralisé depuis deux décennies. Mais pour un vol transcontinental, il doit faire face à un règlement complexe, supervisé par l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale, une instance onusienne à Montréal) et les autres compagnies nationales doivent être consultées.
Pour un groupe iranien, c’est encore plus difficile car depuis le 5 novembre, l’aviation est également visée par les sanctions américaines sur ce pays. Et Qeshm Air n’y échappe pas. Sur le site du Trésor américain, le département en charge des sanctions, une remarque apparaît sous son nom: «Subject to secondary sanctions». Interdiction absolue, autrement dit, pour une compagnie liée de près ou de loin avec les États-Unis de travailler avec Qeshm Air.
La compagnie a été fondée par Babak Zanjani, un milliardaire iranien condamné à mort (et qui attendrait son exécution) suite à une affaire de corruption. Elle appartiendrait depuis au Ministère iranien du pétrole. Qeshm Air a approché un cabinet genevois pour l’aider à lancer sa desserte bihebdomadaire dans le canton. Un beau défi.
Trouver une banque
«Aucune banque ne voudra traiter avec une entreprise sous sanctions américaines», indique une source qui préfère rester anonyme. À ses yeux, la seule solution pour convaincre une banque européenne de traiter avec Qeshm Air serait pour cette dernière d’ouvrir une entreprise dans un pays tiers, qui ouvrira à son tour une société de droit suisse sur sol helvétique pour diluer toute présence iranienne. «Et encore, rien n’est garanti car les banques vérifient de près avec qui elles travaillent», selon notre source.
Collaborer avec une banque pour lancer une liaison aérienne à Genève, c’est indispensable. Le transporteur doit effectuer des transactions auprès de ses partenaires, de Genève Aéroport aux entreprises d’assistance au sol (transport des bagages) en passant par le remplissage du kérosène (refueling).
En Europe, à peine une demi-douzaine de banques acceptent de traiter avec l’Iran, jamais en dollars, selon Laurent Sciboz, un consultant spécialisé sur l’Iran.
En théorie, si une entreprise suisse traite avec une consœur iranienne, qu’il n’y a aucune transaction en dollars et qu’il n’y a aucun lien avec les États-Unis, l’embargo américain sur l’Iran décrété par l’administration Trump n’est pas violé, estime Cyrus Siassi, un avocat président de la Chambre de commerce Iran-Suisse à Genève. Berne et Bruxelles ne suivent pas Washington dans sa politique vis-à-vis de Téhéran.
De nombreuses entreprises suisses se montrent néanmoins prudentes dans ce contexte, parce qu’il peut évoluer, de peur aussi d’être mises sur une liste noire par le Trésor américain, qui profère des menaces en ce sens. Les banques suisses disent toutes avoir cessé tout business avec le pays de Rohani, Credit Suisse notamment, qui collabore avec Genève Aéroport.
Liaison historique
Qeshm Air a ouvert une ligne à Hambourg durant l’été 2017, la première liaison vers l’Europe pour cette compagnie créée en 1993 pour relier l’île de Qeshm, entre le golfe Persique et celui d’Oman, à la capitale Téhéran. Le transporteur dit sur son site recenser aujourd’hui 21 appareils. Contactée, Qeshm Air n’a pas répondu.
La compagnie a officiellement annulé ses vols à Cointrin hier. La veille, dimanche, ils étaient donc annoncés sur les panneaux de l’aéroport, annoncés comme annulés mais affichés tout de même.
Si son A320 atterrit un jour à Genève, le groupe iranien rouvrirait une liaison historique dans le canton. Iran Air, la compagnie nationale, a relié Téhéran au bout du Léman pendant quarante-six ans, de 1965 à 2011. Le groupe avait cessé d’opérer à Cointrin non pas parce que la demande était en berne mais parce que, dans un contexte de sanctions américaines vis-à-vis de l’Iran (déjà), les entreprises de refueling et leurs banques ne voulaient plus travailler avec un groupe iranien.
Les poids lourds helvétiques restent en Iran
Les sanctions américaines épargnent le secteur humanitaire et les biens de première nécessité, des produits pharmaceutiques aux céréales. Les firmes pharmaceutiques mais aussi les maisons de négoce de grains, américaines mais également suisses, peuvent donc exporter leurs produits sans restriction dans la République islamique.
Novartis et Roche y écoulent un nombre grandissant de médicaments. Le leader mondial de la certification, SGS, basé à la place des Alpes, étoffe aussi ses services, tout comme Nestlé, qui prévoit d’y ouvrir une nouvelle usine. Les multinationales feraient attention de ne rien avoir à faire avec les États-Unis, et n’y emploieraient aucun ressortissant américain. Selon les douanes, les exportations helvétiques en Iran ont augmenté de près de 5% ces trois dernières années.
Des délégations économiques, genevoises puis vaudoises, ont effectué des voyages au pays de Rohani ces dernières années. De nombreuses PME romandes voient en l’Iran, un pays de plus de 80 millions d’habitants, un important marché.
De nombreuses PME suisses, effrayées par les sanctions, auraient tout de même freiné, sinon mis temporairement fin à leurs activités en Iran.
Des sociétés iraniennes sont aussi présentes en Suisse, comme Naftiran Intertrade Company – succursale domiciliée à Pully (VD) de la National Iranian Oil Company – une société étatique qui gère les réserves d’hydrocarbures d’Iran et dont les ventes se chiffrent en plusieurs dizaines de milliards de dollars.
Un demi-millier d’étudiants iraniens seraient présents en Suisse où une communauté iranienne s’est établie de longue date. Selon l’Office fédéral de la statistique, 5377 Iraniens étaient établis sur sol helvétique à la fin de 2017, soit 0,3% de la population étrangère résidente permanente, sans compter les binationaux.
Re: Genève H 18/19
Il est vrai que c'est une ligne historique. Dans les années 70 jusqu'à la chute du Shah, il y avait même 2 vols quotidiens sur THR. Un vol IR, souvent via IST et un vol SR, également via BEY une une autre destination du Moyen Orient. Juste pour rappeler quelle importance avait THR pour la Suisse et en particulier GVA avant la révolution.
Re: Genève H 18/19
Selon l'horaire d'hiver d'AZAL les vols sont prévu en mix entre A319 et A320.
https://www.azal.az/upload/pdf/Timetable_AZAL_en.pdf
https://www.azal.az/upload/pdf/Timetable_AZAL_en.pdf
Re: Genève H 18/19
Aéroport : seulement quatre mois après son lancement, le vol Caen-Genève arrêté !
Quatre mois seulement après son lancement, le vol entre l'aéroport de Caen-Carpiquet et Genève en Suisse va être stoppé. La dernière liaison est prévue le 29 mars 2019.
Lancé le 26 novembre 2018, le vol entre le Calvados et la Suisse vit ses dernières heures. Pourtant, la liaison Caen-Genève était initialement proposée de façon annuelle, quatre fois par semaine : les lundis, mercredis, vendredis et dimanches. La durée du voyage est de 1 h 15.
Quelques mois après son lancement, la compagnie Hop ! vient ainsi de décider de suspendre la ligne entre Caen et Genève.
“Les premiers résultats du Caen-Genève ne sont pas convaincants et la compagnie n’a pas eu les créneaux horaires souhaités à l’aéroport de Genève, précise-t-on du côté de Hop!
Le dernier vol Caen-Genève est programmé le 29 mars 2019, soit quatre mois seulement après son lancement.
https://actu.fr/normandie/carpiquet_141 ... 77919.html
Quatre mois seulement après son lancement, le vol entre l'aéroport de Caen-Carpiquet et Genève en Suisse va être stoppé. La dernière liaison est prévue le 29 mars 2019.
Lancé le 26 novembre 2018, le vol entre le Calvados et la Suisse vit ses dernières heures. Pourtant, la liaison Caen-Genève était initialement proposée de façon annuelle, quatre fois par semaine : les lundis, mercredis, vendredis et dimanches. La durée du voyage est de 1 h 15.
Quelques mois après son lancement, la compagnie Hop ! vient ainsi de décider de suspendre la ligne entre Caen et Genève.
“Les premiers résultats du Caen-Genève ne sont pas convaincants et la compagnie n’a pas eu les créneaux horaires souhaités à l’aéroport de Genève, précise-t-on du côté de Hop!
Le dernier vol Caen-Genève est programmé le 29 mars 2019, soit quatre mois seulement après son lancement.
https://actu.fr/normandie/carpiquet_141 ... 77919.html
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Re: Genève H 18/19
Si je ne dis pas de bêtises particulières la compagnie hop est dorénavant la compagnie Hop Air France car racheté !? Donc les vols restent malgré tout annulé ? Je n'en suis pas si sure. Car du coup Air France n'envisage pas de supprimer toutes les destinations ?
Re: Genève H 18/19
TK en A330-200 ce matin à GVA
Re: Genève H 18/19
Hop ne devient pas Hop Air France... mais Air France HopLionheart971 a écrit :Si je ne dis pas de bêtises particulières la compagnie hop est dorénavant la compagnie Hop Air France car racheté !? Donc les vols restent malgré tout annulé ? Je n'en suis pas si sure. Car du coup Air France n'envisage pas de supprimer toutes les destinations ?

Les vols vendus par HOP! ou actuellement à la vente continuent à être assurés normalement, sans impact pour les clients. Idem pour les vols annulés

https://www.air-journal.fr/2019-02-02-h ... 10138.html
https://www.lesechos.fr/industrie-servi ... 241441.php
Re: Genève H 18/19
Lancé le 26 novembre 2018, le vol entre le Calvados et la Suisse vit ses dernières heures.
Pff... étude de marché brillante derrière cette décision... Quel amateurisme.Les premiers résultats du Caen-Genève ne sont pas convaincants
A moins que la rentabilité de toute la route et de ses 200 vols annuels aient été misés sur les samedis du 15 décembre au 31 mars, ca me semble un peu foireux comme excuse. L'été, à +/- 20 minutes, et l'hiver en semaine, ce n'est pas un problème.la compagnie n’a pas eu les créneaux horaires souhaités à l’aéroport de Genève
Re: Genève H 18/19
TK en A330-200 demain matin vers GVA.
Re: Genève H 18/19
Nous sommes d'accord... Je pense que la vraie raison est la nouvelle stratégie du groupe Air France qui souhaite tout faire transiter par CDG, ORY ou LYS !JetStarCH a écrit :Pff... étude de marché brillante derrière cette décision... Quel amateurisme.
A moins que la rentabilité de toute la route et de ses 200 vols annuels aient été misés sur les samedis du 15 décembre au 31 mars, ca me semble un peu foireux comme excuse.
Les raisons évoquées par la Cie en sont presque risibles

Re: Genève H 18/19
Tailwind dès le 24.03.2019 tous les dimanches en B734 entre AYT et GVA.